mercredi 31 décembre 2008

ADOLESCENCE


L'hostilité des ados, c'est de l'attachement. Philippe Jeammet.
L’Express. Propos recueillis par Claire Chartier, mis à jour le 14/05/2004

Ces adorables… ados!
Si on pouvait mesurer le taux d’anxiété des parents d’adolescents comme on calcule le taux d’alcoolémie, on verrait sûrement qu’il dépasse fréquemment le seuil acceptable de confort.

Les adultes s'inquiètent trop pour les ados.
Un sondage réalisé par Ipsos santé à l'occasion du 4e forum Adolescences de la Fondation Wyeth dresse un portrait inattendu de la santé adolescente.

La liberté, oui… mais avec des limites ! L'avis de Jean Marie Forget, psychiatre.
Jean Marie Forget, psychanalyste, psychiatre et auteur de Ces ados qui nous prennent la tête nous donne son avis.

Les ados bien dans leurs baskets.
Non les jeunes ne vont pas si mal que ça. Ils sont même plutôt heureux. C’est ce que souligne une enquête récente menée auprès des jeunes de toute la France.

Petit guide de survie en 10 leçons pour parents d'ados.
Hier encore, on prenait soin d'un petit bébé. Puis, sans qu'on ait eu le temps de comprendre ce qui arrivait, nous voilà en présence d'un adolescent… Par Mylen Vigneault

Prévenir le suicide à l'adolescence:
une priorité de santé publique. Entretien avec Xavier Pommereau, Psychiatre.

Il conteste sans arrêt votre autorité. Pour les parents, la contestation des adolescents au quotidien n’est pas toujours facile à vivre mais elle est indispensable à l’adulte qu’il est en train de devenir. Réflexion sur l'adolescence. Antoine Desroches. Psychologue. La crise d'adolescence est aujourd'hui entrée dans le vocabulaire. Personne ne la conteste, on la considère comme naturelle, comme un passage obligé. Parallèlement les jeunes n'ont jamais été autant sous les feux de l'actualité et au milieu des préoccupations de la société.

Violence à l'adolescence.
Difficile d'être parents d'un ado en crise ! D'autant que ce passage vers le monde des adultes se fait de plus en plus violemment… Pourquoi n'en fait-il qu'à sa tête ? Comment l'aider à retrouver ses repères ? Un rapport récent a tenté d'y voir plus clair… Décryptage.

N'ayez plus peur des psy

N’AYEZ PLUS PEUR DES PSY

Les patients attendent d’un psychologue une aide pour se comprendre soi même en situation difficile ou non, ou pour aider leurs enfants. Souvent ils attendent trop longtemps avant d’entreprendre cette démarche qu’ils jugent utile pour les autres mais pas pour soi. Ils s’interrogent sur leurs difficultés mais préfèrent attendre dans l’espoir d’une éventuelle amélioration : "Avec l’âge ça va s’arranger...", "C’est difficile pour tout le monde...", "Si je n’avais pas ce problème là, j’en aurai un autre...". Mais toute vie comporte des passages plus ou moins difficiles ou des conflits plus ou moins latents. Pour en venir à bout il faut rassembler toute sa volonté et savoir qu’un psychologue ne va pas vous assaillir de questions indiscrètes, ni vous répertorier dans la catégorie "mauvais parents". Ni confesseur, ni juge, ni sorcier, le psy est tout simplement un professionnel qui met sa compétence au service de votre confort psychologique. Sachez l’utiliser...

QU’EST-CE QU’UN PSYCHOLOGUE ?
"Le psychologue soigne les fous", le "pepsi cologue" c’est celui qui fait jouer les enfants, "je vais voir une espèce de philosophe", ...... Un amalgame existe entre les différents "psy".
Les plus connus sont les psychiatres : ce sont des médecins spécialisés en psychiatrie (les pédopsychiatres s’occupent plus spécifiquement des enfants) traitant les maladies mentales; les psychanalystes (quiconque peut être psychanalyste après avoir suivi une thérapie par la psychanalyse) permettent la découverte de la vie inconsciente. En France, un psychologue justifie d’une formation universitaire de cinq ans, validée par un DESS (diplôme d’études supérieures spécialisées) de psychologie. Le psychologue pour enfants suit une spécialisation durant ses études qui lui donne le droit de s’occuper des enfants et des adolescents, mais également de leurs parents ou tout autre public.

A QUOI SERT UN PSYCHOLOGUE ? Un psychologue se donne les moyens de comprendre le problème d’un adulte ou d’un enfant (et ses parents) tout en restant neutre par rapport au conflit .Sa connaissance du développement de l’enfant, sa qualité d’écoute ainsi que ses outils professionnels (tests, entretiens, questionnaires) lui permettent de répondre à ces trois questions :
1° Comment le patient vit-il avec sa ou ses difficultés ?
2° Pourquoi les difficultés sont apparues ?
3° Quels sont les points forts du patient sur lesquels on peut s’appuyer pour amorcer un changement ?

POURQUOI LE RENCONTRER ? Il n’est pas nécessaire d’avoir un motif grave pour venir consulter un psychologue. Si vous avez le sentiment de ne plus comprendre vos enfants, vos parents, vos amis ou une situation à laquelle vous êtes confrontée, un entretien avec un psychologue peut vous aider, seulement si vous le souhaitez sincèrement, à découvrir les raisons de vos difficultés et à mettre en place des solutions pour y pallier. En ce qui concerne les enfants, voici une ou plusieurs raisons d’aller voir le psychologue : L’enfant ne veut plus aller à l’école.L’enfant ne veut pas travailler, oublie ses devoirs, ses livres, ses cahiers.L’enfant a peur de l’enseignant, rate tous ses contrôles, il est toujours puni.L’enfant ne comprend rien aux maths, a du mal à lire ou écrire.L’enfant n’a pas d’amis ou tape sur ses camarades.L’enfant dort mal.L’enfant est tendu, agressif envers son entourage, nerveux.L’enfant mange "trop" ou trop peu.L’enfant est triste, replié sur lui-même.L’enfant vit une situation difficile comme un décès, un divorce ou encore une naissance.

QUE VA-T-IL VOUS "FAIRE" ? Pour les adultes, il écoute d’abord la personne exprimer ses difficultés, son point de vue, ses désirs. Le psychologue ne cherche pas la vérité, il écoute VOTRE vérité. Le code de déontologie auquel se soumet tout psychologue vous garantit le secret professionnel. Le psychologue propose donc des moments privilégiés sous forme d’entretiens, où il est possible d’approfondir une situation difficile au niveau relationnel, et d’évoquer le vécu et ressenti personnel du patient. Pour les enfants, le psychologue peut établir un bilan à l’aide de tests, de dessins ou d’autres outils. Il a pour but d’apporter un éclairage dans différentes situations telles que : difficultés scolaires, absentéisme, difficultés relationnelles au sein de la famille (adolescents) ou à l’école, problème de comportement, situation familiale conflictuelle et/ou en crise ... Le bilan est alors un temps et un espace qui est consacré à l’enfant uniquement pour lui donner l’occasion d’élaborer et de réfléchir sur ses difficultés à travers des entretiens mais également à travers des tests d’intelligence, des tests projectifs, des dessins ainsi que des situations de jeu. Ce bilan dure le temps de trois séances (en moyenne) de 45 à 90 minutes (suivant la problématique, l’âge de l’enfant, le test proposé). Il est suivi d’une ou plusieurs rencontres avec les parents (ou institution qui accueille l’enfant) pour réfléchir avec eux sur les éléments qui se dégagent du bilan. En ce sens, ces interventions sont des moments mobilisateurs et dynamiques en permettant de mettre à jour des potentialités et revaloriser un enfant qui se voit en échec.de permettre aux parents de faire une lecture différente des réactions d’un enfant.toucher du doigt la dynamique familiale.

UN CAS PARTICULIER : L’ADOLESCENCE. "Il n’y a pas de guérison de la crise d’adolescence car ce n’est pas une maladie». Mais parfois certains adolescents sont dépressifs, isolés, paumés, en conflit avec la famille. Ils ont alors besoin de parler de leurs problèmes; les parents étant rarement les meilleurs interlocuteurs; les copains, eux-mêmes débordés par leurs difficultés, offrent, certes, un soutien affectif mais parfois insuffisant pour retrouver équilibre et confort. L’aide d’un psychologue peut éviter à l’adolescent l’isolement et l’incompréhension. Les entretiens de soutien ont cet objectif. Ni thérapie, ni psychanalyse ils apportent une aide ponctuelle à l’adolescent à un moment difficile.

AIDES ET THERAPIES
Pour les adultes, c’est la synthèse des différents entretiens, ou des conclusions du bilan psychologique qui va constituer le point de départ d’une nouvelle phase de travail du psychologue. Le psychologue contribue à une meilleure compréhension de l’individu et de la dynamique dans laquelle il est impliqué (dynamique familiale le plus souvent). Avec son aide, vous trouverez plus facilement la solution ou méthode qui vous conviendra le mieux. Celle-ci reste toutefois strictement personnelle et ne pourra en aucun cas s’appliquer aux autres. Mais le psychologue n’a pas le pouvoir de transformer les gens. Il peut proposer son aide afin que chacun trouve SA solution, mais cela ne suffit pas toujours. Modifier son comportement peut prendre du temps et demande une motivation constante se heurtant au poids de nos habitudes, sans compter l’effort considérable dont on doit faire preuve. Au niveau des enfants, plus il est jeune, plus les parents et la famille sont impliqués dans l’intervention. Rien ne peut donc se concevoir sans leur accord ni leur soutien. Ce n’est jamais l’enfant seul qui est concerné. Dans certaines propositions du psychologue, on peut trouver des orientations vers des aides spécifiques telles qu’une rééducation en psychomotricité (difficultés en motricité fine, difficultés motrices, difficultés de latéralisation, d’organisation spatiale, instabilité psychomotrice ...) ou en orthophonie (rééducation du langage parlé, rééducation du langage écrit, rééducation en mathématiques). Mais l’aide proposée par le psychologue peut aussi bien s’appliquer à l’organisation pratique de la vie de l’enfant ou encore à son éducation sous forme d’entretiens d’aide ou de thérapies psychanalytiques ou non. Cette aide peut être conseillée soit à l’enfant seul, soit aux parents ou l’un d’entre eux, selon l’analyse de la situation familiale et la nature des difficultés de l’enfant. Il ne s’agit pas, pour les parents, de considérer cette aide thérapeutique comme l’aveu d’un échec ou d’un dysfonctionnement. Ce n’est pas parce qu’ils sont "mauvais parents", mais bien au contraire parce qu’ils sont les plus à mêmes à pouvoir aider leur enfant. C’est donc par eux que le travail doit passer. Toutefois, si les éléments du diagnostic laissent à penser que l’enfant ne trouvera pas les moyens, seul ou aidé de ses parents, de résoudre ses conflits, le psychologue peut être amené à proposer une thérapie. L’enfant sera alors vu par un thérapeute (le psychologue lui même, un pédopsychiatre ou éventuellement un psychanalyste) de façon régulière. C’est un engagement qui nécessite une disponibilité des parents, et représente une contrainte d’argent et de temps. Les séances peuvent être individuelles, en groupe (psychodrames) ou familiales (thérapie familiale). Les effets de l’aide thérapeutique se manifestent par une diminution du malaise de l’enfant (disparition progressive du symptôme) et par une nouvelle adaptation à la réalité scolaire et/ou familiale.

http://www.geocities.com/catherine_verdier/




Pourquoi consulter.doc

Pourquoi consulter?
Il n'y a pas si longtemps, les gens osaient à peine parler de leurs difficultés personnelles. Les maladies mentales étaient un sujet délicat et parler de quelqu'un qui vivait une dépression ou de l'angoisse n'était pas si évident. Une certaine honte entourait l'idée d'avoir à consulter un professionnel de la psychologie (psychologue, psychothérapeute, psychiatre ou autre).

Heureusement, la société a évolué et on reconnaît maintenant de plus en plus que la vie est ponctuée de période de croissance et de stagnation. Les évènements normaux du cycle d'une vie (deuil, séparation, réorientation de carrière ou perte d'un emploi) peuvent nous plonger dans une crise plus ou moins profonde qui demandera que l'on consulte un spécialiste de la psychologie afin de se sortir de l'impasse.
Consulter un professionnel de la psychologie est beaucoup plus courant et accepté aujourd'hui. Quelquefois, c'est parce que l'on éprouve des difficultés d'ordre psychologique, quelquefois c'est parce que l'on souhaite simplement enrichir notre vie.

Il n'y a pas de bonnes ou de mauvaises raisons pour consulter un professionnel de la psychologie. Les motifs les plus fréquents sont:

Les difficultés personnelles: "Je me sens déprimé et mal dans ma peau, certaines situations m'effraient, je suisangoissé et tendu, on dirait que j'ai cessé dem'épanouir, j'ai le sentiment de régresser."
Une épreuve: nous pouvons avoir besoin d'aide pour traverser des évènements difficiles (deuil, maladie,perte d'un emploi, séparation).
Les difficultés dans les relations interpersonnelles:
"J'ai souvent l'impression que les gens ne m'aiment pas, je suis
toujours en conflit et je ne sais comment faire pour les résoudre. Je me sens isolé, mal adapté dans mes relations avec autrui."
Réorienter ma vie:"Je veux faire des changements dans ma vie ou ma carrière, je m'interroge et je ne sais pas comment m'y prendre, j'ai peur de ne pas faire le bon choix."

Toutes ces raisons et beaucoup d'autres sont bonnes pour consulter. Souvent, nous croyons pouvoir régler les choses nous-mêmes ou bien que le temps finira par tout arranger. Malheureusement, quelquefois les choses peuvent aussi empirer et en plus des troubles psychologiques, des problèmes de santé physique peuvent faire leur apparition. Avec les perturbations psychologiques... C'est un peu comme avec un mal de dent, il vaut mieux agir tôt avant que la dent ne soit complètement cariée et nécessite une intervention majeure.


Qui consulter?

En plus de l'aide et du support que peuvent nous accorder nos amis, nos parents ou un groupe d'entraide, il peut être vraiment utile de consulter un professionnel. Bien sûr, il y a plusieurs sortes de psy et de professionnels de la psychologie. Alors, qui consulter?

LE PSYCHOLOGUE est un professionnel qui possède une formation universitaire spécialisée en psychologie clinique. Cette formation,qui dure au minimum 5 ans, est centrée sur la compréhension du comportement humain et sur l'apprentissage de multiples techniques visant à aider le patient à résoudre ses difficultés personnelles. Le psychologue connaît des techniques d’entretien, a suivi des stages supervisés et peut recourir aux tests psychologiques pour évaluer les capacités intellectuelles, les aptitudes ou les différents aspects de la personnalité de son patient.

LE PSYCHIATRE est un médecin spécialiste comme le cardiologue ou le chirurgien. De part sa
formation il est spécialisé dans le traitement des troubles mentaux graves qui nécessitent quelquefois la prescription de médicaments ou une hospitalisation. Parce qu'il est médecin, le psychiatre peut prescrire des médicaments. Il peut également utiliser la psychothérapie pour traiter ses patients.

LE PSYCHANALYSTE

utilise une des approches de la psychothérapie, la psychanalyse, développée principalement par Sigmund Freud. Il s'agit quelquefois d'un psychiatre ou d'un psychologue qui a suivi une formation spécialisée en psychanalyse. Il a lui-même suivi une analyse et a également bénéficié d’une supervision.

LE PSYCHOTHÉRAPEUTE offre des services de psychothérapie dans une orientation théorique particulière. Souvent les psychologues et les psychiatres sont aussi psychothérapeutes. Toutefois, d'autres personnes avec des formations différentes peuvent porter le titre depsychothérapeute. Le titre de psychothérapeute ne requiert pas de formation obligatoire et n'est pas protégé par un ordre professionnel. Ainsi, il est prudent de s'informer sur la formation d'une personne qui s'affiche comme psychothérapeute

avant d'avoir recours à ses services.

Une règle de base est de s'assurer qu'il s'agit d'un professionnel, ayant reçu une formation adéquate, possédant un code de déontologie et s'étant engagé à respecter des règles d'éthiques. Le foisonnement des nouvelles approches en psychologie a fait naître plusieurs formes de psychothérapie sérieuses qui ne sont pas nécessairement enseignées dans les universités. Il existe d'excellents psychothérapeutes avec de solides formations qui ne répondent pas à des critères académiques.
Votre santé psychique est un bien précieux. Quel que soit le professionnel que vous choisirez, il est toujours prudent de s'informer sur sa formation et ses compétences.

www.psycho-ressources.com




mardi 30 décembre 2008

Faut-il prévenir les enfants des abus sexuels ?

Régulièrement, l’actualité met en exergue un fait d’abus sexuel ou de maltraitance. La dramatisation excessive ou l’extrême focalisation sur des événements rares peut avoir des effets nocifs. Aux premières lignes, les enseignants, les éducateurs s’interrogent sur le bien fondé de tel ou tel programme de prévention.

Sept points de repères

- Plus de 90% des abus sexuels sont le fait de membres de la famille ou de proches. Le risque d’agression étant nettement plus important dans l’environnement familial, il est inutile de se focaliser sur des prédateurs sexuels rares, il est préférable d’inclure la prévention dans les programmes de soutien à la parentalité ainsi que dans ceux qui aident l’enfant à s’exprimer sur toutes les difficultés qu’il rencontre et les sentiments qu’elles suscitent.

- Il est erroné de croire que les événements d’actualité dramatique sont, en eux-mêmes, anxiogènes pour les enfants. C’est avant tout l’angoisse des adultes qui se transmet à ceux-ci. Le rôle des professionnels est donc d’éviter toute initiative qui augmente l’émotion de même que les flambées médiatiques, et de proposer - si nécessaire - le recours aux services d’aide et d’appui existants. Autant que possible, il est utile d’aider les parents à expliquer à leurs enfants ce type d’événement et son caractère grave et exceptionnel.

- Les campagnes de prévention ciblant les enfants en les responsabilisant à outrance par rapport à leur propre protection sont au mieux inutiles parce que c’est dans la relation que l’enfant apprend à se protéger. Le respect avec lequel le traite son entourage est la base essentielle sur laquelle il va faire cet apprentissage. Ensuite, au gré des événements, les adultes qui l’entourent vont lui apprendre à prendre soin de lui. C’est la raison pour laquelle on privilégiera les outils pédagogiques ou de loisirs qui aident l’adulte à entrer en relation avec l’enfant, à aborder tous les thèmes qui le préoccupent. Il est illusoire de penser qu’un enfant va se protéger à l’extérieur de la maison s’il n’a pas au préalable appris que son intimité était précieuse et l’a vue respectée dans ses lieux de vie. De même, dans le milieu scolaire, l’apprentissage des limites, du respect de l’autre, de la citoyenneté, etc… directement appliquée à la « vraie »vie sociale de l’école (et non à des événements lointains ou théoriques) ont un effet de consolidation préventive sur les abus sexuels aujourd’hui, l’usage des drogues demain… sans que ces thèmes doivent être abordés frontalement.

- Certaines campagnes sont anxiogènes parce qu’elles font peser sur les épaules de l’enfant le poids de sa propre protection. « C’est à toi de faire attention » sous-entendent les cartes de prudence ou autres badges. Ces médias servent d’objet contraphobique pour les adultes et ratent l’objectif d’une éducation prenant pour paradigme le fait que l’adulte est responsable de l’enfant, qu’il est là pour l’aider et l’introduire à la vie. D’autre part, l'enfant qui a été ou est actuellement victime, se sentira encore davantage coupable de n'avoir pas su se protéger. Cette culpabilité ne l'aidera pas à oser en parler et risque d'augmenter la honte qu'il peut ressentir.

- D’autres campagnes sont toxiques parce qu’elles introduisent l’enfant à la sexualité via une sexualité perverse. Toute information relative à la sexualité doit tenir compte du développement affectif et sexuel de l’enfant et intervenir en réponse à ses questions, sans les devancer. Il y a lieu de l’introduire d’abord à l’amour et à une sexualité « normale » bien avant d’aborder la perversion ou les risques tel celui du sida

- Certains programmes voudraient apprendre à l’enfant à se défendre physiquement de l’abuseur par un apprentissage de coups bien placés. Une étude menée par Finkelhor met en évidence le fait que les enfants qui se sont défendus en situation d’abus, ont subi plus de violences physiques que les autres. Outre le fait que de tels programmes placent également l’enfant dans l’imaginaire d’une agression potentielle omniprésente, il est illusoire de leur laisser croire qu’ils peuvent rivaliser avec l’adulte sur le plan physique, ce qui a par ailleurs des effets négatifs dans d’autres registres également.

En conclusion, quand les adultes sont à l’écoute des questions de l’enfant au fur et à mesure qu’elles apparaissent et quand ils les initient à la vie en commun - ici et maintenant - de leur place d’adultes responsables et capables de parler, alors ils font œuvre de prévention. Animateurs, éducateurs, enseignants… n’ont pas besoin de programme clé sur porte pour un tel travail. Il s’agit avant tout de tenir une place et de saisir les petits événements du quotidien, au fur et à mesure de leur surgissement.

yapaka.be


Un enfant se masturbe, dois-je m’inquiéter ?

Il n’est pas rare qu’un enfant soit surpris en classe, à la maison, en train de se caresser les parties intimes. Chose qui interpelle et choque souvent les adultes, et en tout cas pose question : est-ce normal ? dois-je intervenir ? faut-il s’inquiéter de tels comportements en public ?
Il faut d’abord souligner que la découverte de son corps et des réactions de plaisir ou d’apaisement que l’on peut en tirer est naturelle, même chez des enfants très jeunes. Tout comme un enfant va se calmer en prenant son pouce en bouche et en tirer du plaisir.
Le malaise des adultes vient du fait que, bien souvent, ils perçoivent cette étape naturelle comme une manifestation sexuelle au sens adulte du terme. Or, si un enfant a des pensées et des gestes qui peuvent être qualifiés de « sexuels », ils sont pourtant d’une toute autre nature que ceux de l’adulte. Ils diffèrent principalement par l’immaturité physique et psychique. Pour le comprendre, il faut rapidement évoquer quelques étapes du développement de l’enfant.

Des étapes importantes
Une étape primordiale dans ce développement sera l’apprentissage du plaisir, notamment par la maîtrise de l’action sur le monde environnant. Par exemple le nourrisson dans son berceau se rendra vite compte que, par différents gestes, il fera bouger le mobile au-dessus de sa tête, objet qui lui a procuré précédemment et par hasard du plaisir. Il répétera ceci d’autant plus qu’il jouit maintenant de la maîtrise de la situation. Il va aussi apprécier les caresses des parents qui ont, à elles seules, un effet rassurant et permettent d’évacuer les tensions physiques, musculaires et psychologiques, tout comme le font les massages.

Dans une étape ultérieure va se développer une curiosité normale vis-à-vis de son corps, sa sexualité, et la sexualité des adultes. Cette curiosité sera particulièrement vive entre 3 et 6 ans, avant que la pudeur ne se construise petit à petit. C’est l’âge de la découverte du «sexe » et de la «sexualité». A ce stade, toucher ses organes génitaux permet à l’enfant de s’approprier sa sexualité par une curiosité normale, par un apprentissage de plaisirs physiques nouveaux, et d’entrer dans un monde de rêverie qui lui est propre et qui lui apprendra à repérer dans son corps diverses zones plus ou moins sensibles.

Se masturber en public ?
Même lorsqu’ils sont conscients du fait que la masturbation est un comportement absolument normal et même positif dans le développement de l’enfant, des parents ou enseignants peuvent légitimement être préoccupés lorsqu’elle est pratiquée publiquement. Comment intervenir ? Cette question est fondée : si l’apprentissage de la sexualité est naturel, celui du respect des codes sociaux, de la sensibilité d’autrui et de sa propre intimité est aussi essentiel.
Gardons-nous de remarques moralisatrices sur le geste lui-même (« C’est sale, cela ne se fait pas en public, on ne peut pas ! »), et préférons reconnaître cet éveil des sensations et expliquer l’importance du respect de l’intimité et de la pudeur de chacun (avec le respect d'un espace à lui comme sa chambre…), et que cela vaut pour l'enfant autant que pour l'adulte.

Quand est-ce « préoccupant » ?
Lorsque la masturbation est répétée et compulsive, pratiquée en public, qu’elle s’accompagne éventuellement de paroles calquées sur la sexualité adulte, il devient évident que le comportement de l’enfant est le symptôme d’un malaise plus profond. Il s’agira alors non seulement d’expliquer la nécessité des limites dans son intérêt et celui de l’entourage, mais aussi d’étoffer la signification de ce geste, notamment par un entretien plus approfondi avec l’enfant. Un éclairage psychologique ou un accompagnement pourraient aider ce dernier à se situer.

yapaka.be

lundi 29 décembre 2008

Apprentissages


Mon enfant est-il dyslexique ?
Quand un enfant a des difficultés à apprendre à lire, quand il lui est difficile de recopier les mots sans faute d'orthographe ou encore lorsqu'il a des difficultés à mémoriser l'orthographe des mots, lorsqu'il inverse les lettres, il est courant que des professionnels établissent un diagnostic de dyslexie, diagnostic qui est souvent associé à celui de dysorthographie...
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Aider l’enfant dyslexique à retrouver sa place d’écolier : un processus de remédiation
Interview. Bernard Jumel
Alors que les difficultés scolaires liées à la dyslexie sont de plus en plus souvent considérées comme un handicap et, à ce titre, abordées sous un angle quasi médical, Bernard Jumel nous présente une autre approche...

Est-il gaucher ou droitier ?
Les individus ne se répartissent pas en deux catégories, les droitiers et les gauchers, mais en quatre.
Les droitiers homogènes se servent préférentiellement et plus habilement de leur main droite pour saisir, de leur pied droit pour taper dans un ballon, de leur œil droit pour regarder...
Comment l'enfant apprend à parler ?
Qu'est-ce-que communiquer ? Communiquer et parler sont deux actions différentes. La communication chez le bébé est première par rapport à la parole. Le bébé adopte plusieurs canaux de communication. Par des mimiques, des gestes, il arrive à se faire comprendre de son entourage. Bientôt, il s'exerce à prononcer des sons plus ou moins proches de mots du langage commun...

Les troubles de l'écriture
Votre enfant peut rencontrer des difficultés dans l’apprentissage de l’écriture. Vous pouvez l’aider à la maison, mais si cela ne suffit pas, consultez un spécialiste. Les premiers pas de l’enfant dans le monde de l’écriture suscitent des réactions aussi diverses...

LA DYSLEXIE , ça me cripse comme un machte de bosc.
La simple pensée des travaux scolaires, la simple entrée dans la classe ou la simple vue d’un livre ou d’une lecture à faire, peut provoquer le rejet, la fuite ou l’inhibition chez certains enfants.
On dit de lui qu’il "n’aime pas l’école", "il n’aime pas lire". Il dit de lui qu’il "est nul", sous entendu "je suis bête car je ne comprends rien à l’école, je n’arrive pas à suivre". Les devoirs sont un véritable supplice pour les parents et une corvée pour les enfants qui ne se plient que sous la contrainte. Que se passe t-il ?

L'apprentissage de la lecture
L'apprentissage de la lecture commence bien avant l'entrée au cours préparatoire. Le jeune enfant, dès l'école maternelle, se familiarise avec le monde de l'écrit. Il commence à lire par la médiation d'un adulte ou d'un autre enfant, plus âgé que lui, qui lit à sa place, à voix haute, les histoires qu'il a envie de connaître. On pourrait appeler cette méthode, la méthode de "la grand-mère" puisque traditionnellement, les grands-mères racontaient des histoires à leurs petits enfants...

Méthode Globale. Les saboteurs de la lecture
Les enfants lisent mal. Conséquence de la méthode globale et d'un lobby de "pédagogues".
Valeurs Actuelles, 30 mai 1998 par Humbert Rambaud. C'est un exercice obligé: tout ministre de l'Education nationale doit associer son nom à une réforme. Pour Ségolène Royal, ministre délégué à l'Enseignement scolaire, ce pourrait être la lecture. "...

La première rentrée à l'école maternelle
La première rentrée à l'école maternelle est une étape importante dans la vie d'un enfant mais c'est aussi un grand moment dans la vie des parents. Que d'angoisse, de craintes, de fantasmes autour de ce premier jour...

LE TRAVAIL A LA MAISON
Le travail à la maison est un souci bien connu de toutes les familles qui ont un enfant d'âge scolaire. De nombreuses questions se posent aux parents désireux de suivre la scolarité de leurs enfants : Quels sont les objectifs du travail à la maison ?Que faut-il exiger d'un enfant ? Faut-il lui demander du travail supplémentaire ? Comment l'aider à faire le travail imposé : faut-il le laisser autonome ou faut-il le guider ?
Cette page a pour but d'aider les parents à répondre à toutes ces interrogations...

Sécher l'école, une nouvelle mode
Aujourd'hui,rater des cours pour des raisons de confort personnel touche de plus en plus d'élèves, et de plus en plus jeunes. Mépris du système scolaire ? Démission des parents ? Des clés pour comprendre et réagir...

Une petite psychologie de l'élève
D’où viennent les difficultés des élèves ? Comment y remédier ? Quels sont les atouts spécifiques nécessaires à l’enfant afin qu’il devienne un élève performant ?
Voilà quelques-unes des questions auxquelles répond Jean-Luc Aubert, psychologue clinicien, dans Une petite psychologie de l’élève(Dunod, 2007), fruit d’une expérience de plus de vingt ans en milieu scolaire.Un livre dédié à tous les acteurs de la communauté éducative – enseignants, parents,associations et, plus largement, responsables à tous niveaux de l’éducation de l’enfant...
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Comment préparer la rentrée? Comment les remettre dans le bain ?
Quand préparer la rentrée?
Tous les spécialistes vous le diront : la rentrée, ça se prépare, et pas seulement en achetant le cartable et des stylos tout neufs. 15 jours avant le jour J est une bonne moyenne
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Demain, la Grande Ecole
Madame Villanueva, maîtresse en CP nous raconte comment éviter le stress, les angoisses et les inquiétudes … des parents et des enfants !
D’abord et avant tout, soyez rassurés...
Vous êtes un peu stressé à l’avance vous demandant comment va se passer cette entrée en CP ? C’est normal mais rappelez-vous que votre enfant n’en est pas à sa première rentrée !

Les devoirs de vacances. Faut-il faire travailler les enfants pendant les vacances ?
Enseignants et psychologues répondent à vos questions. Cahiers de vacances, stages, cours particulier, remise à niveau… les solutions ne manquent pas pour faire travailler les enfants, que ce soit pendant le long «break » de l’été, comme pendant les petites vacances en cours d’année scolaire.




dimanche 28 décembre 2008

Divers

Les devoirs de vacances.
Faut-il faire travailler les enfants pendant les vacances ?Enseignants et psychologues répondent à vos questions.
Cahiers de vacances, stages, cours particulier, remise à niveau… les solutions ne manquent pas pour faire travailler les enfants, que ce soit pendant le long « break » de l’été, comme pendant les petites vacances en cours d’année scolaire...
La colonie… oui, mais au bon moment pour votre enfant !
Vous hésitez à inscrire votre enfant en colonies de vacances, car vous n'êtes pas sûrs qu'il soit tout à fait prêt. Les conseils de Valérie Giaccone-Marcesche, pédopsychiatre, pour vous aider à prendre votre décision et choisir le moment qui conviendra le mieux pour cette grande aventure...

La liberté, oui… mais avec des limites ! L'avis de Jean Marie Forget, psychiatre.
Jean Marie Forget, psychanalyste, psychiatre et auteur de Ces ados qui nous prennent la tête nous donne son avis...
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La maison, notre espace intérieur. Alberto Eiguer
Que révèle de nous le choix d’une maison, notre façon de nous l’approprier, de l’aménager, de la décorer ? Pourquoi appréhende-t-on de déménager ? Comment gère-t-on héritage ou perte de son logis ? Comment habite-t-on ensemble, et pourquoi ?

samedi 27 décembre 2008

Separation. Divorce


AU SECOURS ! MES PARENTS DIVORCENT !
Le divorce des parents (ou la séparation pour les couples qui vivent en concubinage) est pour tout enfant un événement majeur qu'il n'a pas choisi de vivre, qui lui est imposé par ses parents. Ces derniers ont donc le devoir de faire en sorte que l'enfant en souffre le moins possible. Pourtant, ce n'est pas toujours chose facile à réaliser car eux-mêmes vivent un moment très éprouvant de leur vie d'adulte.

Le rôle des parents après la séparation. Approche coopérative destinée aux parents en instance de séparation
Dans la plupart des cas, après un divorce ou une séparation, les parents continuent à jouer un rôle important dans la vie de leurs enfants. Les enfants ont besoin de se sentir aimés aussi bien par leur père que par leur mère, même si ceux-ci ne peuvent plus vivre heureux ensemble.

Divorce: les enfants parlent aux parents.
Anne Laure Gannac, vous êtes journaliste au magazine Psychologies, et Yolande Gannac-Mayanobe, vous êtes psychologue clinicienne. Avec "Divorce, les enfants parlent aux parents", qui sort le 22 février 2008, vous tentez de proposer un accompagnement aux personnes qui doivent affronter le cap de la séparation. Vos motivations étaient forcément différentes. Quelles étaient-elles ?

vendredi 26 décembre 2008

Education

Des articles pour vous informer sur l'education de vos enfants.

Argent
L’argent dans la famille
L’argent n’a jamais été aussi omniprésent dans la vie de tous les jours : difficile de ne rien acheter dans une journée et impossible de se soustraire aux multiples frais de téléphone, d’Internet, d’électricité, de taxes, de loyer ou d’hypothèque.

Apprentissage de la valeur des choses aux enfants. L'argent de poche
L’argent de poche est une chose importante pour les enfants, elle leur permet d’apprendre à gérer l’argent, mais le senset la valeur de l'argent passe également par d'autres chemins dans la vie de tous les jours avec nos adolescents. (suite)

Sommeil
Bonne nuit les petits
Bien dormir est un gage de bonne santé chez l'enfant car le sommeil est indispensable à la vie. Pendant le sommeil, de nombreuses fonctions s'accomplissent. Le sommeil permet la récupération de la fatigue nerveuse et physique. Il est indispensable à la maturation du cerveau, à la mémorisation, et au bon développement corporel. La durée du sommeil varie en fonction de l'âge de l'enfant. (suite)


Sexualite
Mon enfant se caresse, que faire ?
La découverte du corps, des sensations de plaisir des enfants mettent parfois les adultes dans l'embarras. Que faire si l'enfant se masturbe, comment lui expliquer ce que l’on peut faire et ne pas faire ? (suite)

Questions sur la sexualité des enfants.
Si la sexualité de l'adolescent est un sujet souvent abordé par les parents ou les éducateurs, leurs connaissances sur la sexualité infantile sont souvent plus floues. (suite)

Quand 
commencer à parler de la sexualité aux plus petits?
Le
 développement psycho sexuel des enfants est une phase
importante de leur croissance et de leur devenir, de leur équilibre
une fois devenu adulte. (suite)

Enfant Turbulent
Enfant Turbulent,
Débat avec Edwige Antier, pédiatre, auteure de "Dolto en héritage" (Robert Laffont, 2005), jeudi 22 septembre 2005
Doudou : Les enfants turbulents ont-ils toujours existé ou est-ce une spécificité de nos sociétés actuelles où règne la violence? (suite)

L'enfant tornade
Vous êtes à bout de souffle, votre enfant vous prend toute votre énergie ? Vous avez l’impression qu’il ne se fatigue jamais et qu’il est incapable de se concentrer. (suite)

Ordre et rangement. Conseils pour en finir avec le désordre à la maison et dans la chambre

L’apprentissage de l’ordre aux enfants est une tâche de tous les jours... Quel parent ne s’est pas une fois mis en colère face à une chambre transformée en véritable champ de bataille, face à des vêtements sans dessus dessous dans l’armoire …(suite)



Un chien à la maison. L’éducation des enfants en présence d’un animal domestique

De récentes études sur le problème de l'agressivité des chiens envers les personnes se sont penchées pour la première fois sur l'importance de l'éducation des enfants en présence d'un animal domestique, plus précisément un chien.(suite)




La mort.
De nos jours, le deuil ou la mort, se parle de plus en plus et on en parle aux enfants plus jeunes qu’avant. Mais comment les enfants réagissent-il face à la mort? Que faire pour aider nos petits protégés à mieux vivre après ses évènements? Qu’elles sont les livres à raconter à nos enfants dans ces cas là? (suite)

Maman j'ai peur!
Quel parent ne s’est jamais fait réveiller au beau milieu de la nuit, par les cris horrifiés de son enfant victime d’un cauchemar ? En effet, comme parent, nous nous retrouvons souvent confronter aux peurs de nos enfants et nous n’avons pas nécessairement toujours les bons mots, bien malgré nous, pour les rassurer. Dans le texte qui suit vous retrouverez plusieurs informations et conseils pratiques afin de vous aider à mieux comprendre les peurs de vos tout-petits. Ainsi, vous pourrez mieux faire face à la situation lorsque celle-ci se présentera à vous. (suite)


dimanche 21 décembre 2008

Programme Janvier 2009

GROUPES DE PARENTS

Disputes Et Rivalités Fraternelles.
Mardi 13 Janvier. 18h00-19h45
Ils se disputent sans arrêt et vous ne savez plus quoi faire? Faut-il les laisser gérer leurs désaccords ou faut-il intervenir ? Qu’est-ce qui se joue à travers les conflits (pour les enfants et pour les parents)?

Rencontre entre parents animée par la psychologue Selma Belghiti.
Groupe ouvert uniquement sur inscription. Tarif 250 Dh
contact@reperes.ma


Cycles Parents d’Ados
Jeudi 22 Janvier. 14h15-16h15
L’adolescence est souvent un moment de questionnement pour les parents. Être parent d’ados ou de préados aujourd’hui suscite parfois un besoin d’échange et d’accompagnement. Ce groupe de parole aide à mieux comprendre la problématique des adolescents et à chercher ensemble ce qui pourrait évoluer dans les attitudes de chacun afin de trouver la bonne distance.
L’inscription à ce groupe engage à l’ensemble du cycle (6 séances).
Voir horaires ci-dessous. Tarif 1200 Dh le cycle


Autres Cycles



DES PARENTS AUX PROFESSIONNELS

Projections de Film:
Cycle Petite Enfance

Le sommeil de l'enfant
Mardi 6 Janvier. 18h00-19h00

Adolescents d'hier et d'aujourd'hui
Mardi 27 Janvier. 18h00-19h00
Entretien filmé avec Marie Choquet, directrice de recherche à l'INSERM autour d'une étude statistique sur l'évolution de la situation des adolescents depuis une dizaine d'années. Cette étude porte sur les différents espaces de l'adolescent: famille, école et loisirs.

Questions à la PSYCHOMOTRICIENNE
Vendredi 23 Janvier. 18h00-19h30

Il ne tient pas en place. Il est très malhabile. Son écriture est illisible. Il confond toujours la droite et la gauche. Il a du mal à se concentrer.

Quand faut-il faire appel à la psychomotricienne ? Quelle est la différence avec la psychologue ? Qu’est-ce qu’un bilan psychomoteur ?

Asmaâ NASLOUBY, psychomotricienne, vient répondre à vos questions de parents.



ACCÈS LIBRE

Mardi 14h30-19h00
Jeudi 08h30-12h30
Une permanence conviviale autour d’un café. L’accès à l’espace documentation ainsi que la possibilité d’avoir une consultation avec la psychologue (dans la limite de sa disponibilité) ne nécessite pas de rendez vous à l’avance.


Consultations Individuelles sur rendez-vous le reste de la semaine.

Pour en savoir plus sur le centre cliquez ici
contact@reperes.ma

samedi 20 décembre 2008

Programme Décembre 2008

Les Thèmes du Mois de Décembre


Disputes Et Rivalités Fraternelles

Groupe de Parents. Jeudi 11 Décembre. 18h00-19h45

Cycle Parents d’Ados (6 séances)

Groupe de Parents. Jeudi 18 Décembre. 14h15-16h15
 

Contes de Noël (pour les parents)

Vendredi 19 Décembre. 18h00-19h30



Inscriptions: contact@reperes.ma



Autres Cycles

Les différentes étapes de la vie de parents sont des moments forts en émotion qui bousculent parfois les repères et les principes éducatifs qui allaient de soi. Partant du principe que de nombreux parents vivent les mêmes expériences et questionnements dans leur parcours éducatif, nous proposons des cycles de groupes d'échange animés par la psychologue.

Préparation à l’Accouchement. Avec la sage femme sophrologue Maya Chaouki.

Cycle Jeunes Parents. Nouveau Bébé, premiers mois, premières années. Accompagnement des jeunes parents dans les premières années de la vie de bébé.

Parents de Tout-Petits .Les apprentissages de la vie. Parents d’enfants de 2 à 6 ans.

Vie de famille, de la discipline à l'amour. Parents d’enfants de 6 à 11 ans.

Les cycles démarrent lorsque le nombre minimal d'inscrits est atteint;
Envoyer un mail ou téléphoner pour vous inscrire au groupe et à l’horaire de votre choix :
Groupe Soir : un lundi par mois de 18h15-20h OU
Groupe Journée : un jeudi par mois de 14h30-16h15
contact@reperes.ma